Suite du récit de notre weekend en Touraine.
Ou plutôt retour en arrière, avec notre toute première visite:
le Festival des Jardins de Chaumont sur Loire.
Beaucoup de monde sous un soleil de plomb mais c'était vraiment
un cheminement agréable au sein d'univers différents.
un cheminement agréable au sein d'univers différents.
Pour être honnête, je n'y connais rien en art contemporain
et je n'ai pas la prétention de savoir présenter ces œuvres.
Je vais me contenter de vous montrer ce qui m'a plu,
les associations que j'ai aimées
et les plantes qui m'ont tapé dans l’œil.
On commence la promenade avec le magnifique cadre de ce Festival des Jardins:
le château de Chaumont, qui surplombe la Loire,
son parc, ses serres et son splendide potager:
Première œuvre,
la suspension de milliers de fleurs par Rebecca Louise Law,
sous la charpente des écuries:
Le thème cette année était "Le Pouvoir Des Fleurs"
et cette installation coréenne rend hommage aux sorcières et à leur savoir de guérison:
Étape rafraichissante dans le Vallon des Brumes:
"Les Coulisses de l'Attraction" et son jeu de miroirs:
"Apis Vertigo" évoque le parfum des fleurs de rocaille:
"L'homme qui aimait les fleurs",
œuvre collective des étudiants et enseignants d'Agrocampus Ouest,
avec des plantes en bacs à différentes hauteurs,
qu'on surplombe ou qui débordent au-dessus de nos têtes:
"Papillonnez", jardin franco-germanique qui met en avant les plantes mellifères:
"A la recherche du lupin blanc" nous entraîne dans l'univers de Lewis Carroll:
"Eternelles éphémères", dont j'aime le cheminement:
"Summer is coming - Le Trône de Fleurs", amusant:
"La Planète en Ebullition" évoque l'urgence face au dérèglement climatique:
"Au pied du mur", un beau jardin bleu caché derrière un mur
dont le verso est disponible pour les messages des visiteurs:
dont le verso est disponible pour les messages des visiteurs:
"Les Fleurs prennent le pouvoir":
"La Serre des Victorias", réalisé par les équipes du Domaine de Chaumont:
"Monochrome" (un peu facile, n'importe quel jardinier débutant aurait pu faire pareil à mon avis):
Dans les allées du parc, on tombe amoureux à tout bout de champ:
Je termine avec mon préféré, le jardin anglais:
Pfiou, ça y est, c'est fini ☺.
A demain pour Villandry !